faire entrer un religieux dans un monastère
Clôturereligieuse. Double grillage du parloir des Visitandines de Varsovie : expression de la clôture. La clôture religieuse (ou clôture monastique en certains lieux) est l’espace réservé aux moines ou moniales, religieuses ou religieux (qui sont dits alors cloîtrés) dans un monastère, couvent ou abbaye. Autrefois, dans le
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Depuisquelques semaines, 7 religieuses de la Visitation sont entrées au monastère Mater Ecclesiae, au sein du Vatican. Le couvent est né en 1994 d’une initiative de Jean-Paul II, qui a souhaité créer une communauté de religieuses contemplatives qui accompagnerait de sa prière l’activité du pape et de ses collaborateurs de la Curie
Nepouvez pas entrer dans un couvent, ou monastère sans devenir religieuse ou faire de voeux. Si l'épouse de Dutroux l'a demandé , je ne vois pas pourquoi, vous ne le pourriez pas? Oui, il existe une forme mitigée : les oblats réguliers d'un Ordre (ne pas confondre avec les oblats séculiers qui restent dans le monde). _____
Unerencontre avec l'architecture religieuse et l'iconographie russe vous est proposée. Découvrez l’histoire du monastère grâce à l’une des moniales, les dimanches (14 h-18 h) et pendant les vacances scolaires, pour faire une visite un autre jour que ceux prévus, il est conseillé de prendre rendez-vous par téléphone : 04 71 78 80 01.
nonton the walking dead season 11 episode 24 sub indo. Chaque paroisse est libre de vous demander des documents pour l’inscription au baptême. D’ordinaire, votre paroisse vous fournit un formulaire à remplir avec les informations suivantesIl est possible que la paroisse vous demande également votre livret de famille chrétienne si vous en avez un celui qui vous a été fourni à l’issue de votre mariage et une enveloppe timbrée portant votre nom et vos coordonnées. Celle-ci servira à vous retourner votre livret complété chez vous s’il ne vous est pas remis au moment de la signature des registres. Sur le même thème
Depuis quelques années, je ressens le besoin de marquer des pauses, de me retrouver avec moi-même, de me couper du monde même, pour retrouver ma fibre spirituelle. Pourtant je ne suis pas catholique, je ne suis pas bouddhiste non plus, ni juive ou musulmane. En fait, je n’appartiens à aucune communauté religieuse. On pourrait me définir comme athée, laïque ou non-croyante. Même si je cultive en moi une certaine forme de spiritualité et de croyances. – – Je suis très sensible aux concepts qui se cachent derrière les retraites. Je m’organise souvent moi-même des périodes de retraites où je pars seule dans un lieu reculé. Cependant, étant non catholique, je reviens pourtant tout juste d’une retraite dans une abbaye avec des soeurs Bénédictines. – Alors, existe-t-il des retraites spirituelles non religieuses, laïques ou adaptées aux athées ? Où peut-on trouver ce genre de retraite, où se déroulent-elles et quels types d’activités sont proposées lors de ces retraites ? Je vais essayer de répondre à toutes ces petites questions que vous vous posez. – Et puis en fin d’article, je vous raconterai comment s’est passée ma retraite spirituelle dans l’abbaye St Michel de Kergonan en Bretagne. – Alors, commençons par le commencement que signifie une retraite non religieuse, laïque ou athée ? – Retour sur quelques définitions… laïcité Je pense qu’il est peut-être important déjà de revenir sur ces 3 termes non religieux, laïque et athée. Je ne pense que dans le cadre de cette recherche, il est plus précis de parler d’une retraite athée, que d’une retraite laïque. Dans le sens où le terme laïque est plutôt rapproché au principe de laïcité de “séparation dans l’État de société civile et de la société religieuse, ainsi que la neutralité de l’État à l’égard des confessions religieuses” Wikipédia. – Athéisme… Le principe de l’athéisme, définit aujourd’hui lui l’absence de religion ou le refus de toute croyance en un Dieu ou une divinité que ce soit. Pour parler de retraite non religieuse, il est donc plus approprié de parler de retraite athée que de retraite laïque. – – Une retraite athée, non religieuse peut-elle être spirituelle ? Et inversement une retraite spirituelle peut-elle être athée ou non religieuse ? – Aujourd’hui, il existe une offre très diverse de retraites en France et même à l’étranger. Je suis donc persuadée, qu’il est possible de trouver LA retraite qui correspondra parfaitement à ses attentes. Si vous recherchez une retraite qui ne parle aucunement de spiritualité, de religions ou de croyances vous pouvez-vous tourner vers des retraites qui mettront en avant des activités créatives ou sportives par exemple. Vous pouvez également contacter les organisateurs des retraites pour demander plus de renseignements à ce sujet. – Religion & Spiritualité Pour répondre à ces deux questions, je dirais plutôt oui. Comme je vous l’ai dit en début d’article, je ne me revendique d’aucune foi religieuse, que ce soit le catholicisme, la religion musulmane, juive, bouddhiste ou autres. Pourtant, je ne me dirais pas non croyante non plus. Car je crois à beaucoup d’autres choses, que ce soit à la Nature à la Mère Nature même, au Destin, à l’Intuition, à l’Intention ou aux spiritualité est une notion très importante pour moi dans la mesure ou elle questionne. Et d’un certain côté, je pourrais me dire de toutes les religions, puisque j’aime étudier la valeur et les philosophies et les cheminements spirituels de diverses religions. – Aller retrouver sa fibre spirituelle C’est un peu en suivant ce schéma de pensée que j’imagine l’essence de la retraite que j’organise en avril prochain je vous laisse y jeter un oeil. Au travers du yoga, de la méditation, d’atelier et de balades dans la Nature, il sera question de retrouver sa fibre spirituelle, de se reconnecter à son Esprit mais aussi d’aller explorer les pouvoirs de la Nature. Sans aller parler d’une ou de divinités suprêmes et sans participer à des rituels religieux, il est possible de dénicher une autre forme de spiritualité. Les activités proposées lors de ce week-end ne mettront en avant aucun culte, pratique religieuse ou croyances tout en proposant des pistes de réflexions, de philosophies de vie. Et chacun est libre de développer et d’accorder de l’importance aux éléments de cette spiritualité qui leur feront écho. – Sur quels sites trouver des retraites spirituelles non religieuses ? – Le premier site que je conseillerais serait peut-être Book Your Yoga Retreats. Ce site répertorie un grand nombre de retraites d’aucune appartenance religieuse et centrées sur la pratique du yoga, mais pas que. J’ai d’ailleurs pu répertorier la prochaine retraite que j’organise sur ce site. Sinon, vous pouvez retrouver de nombreux articles de magazines qui proposent des listes de retraites comme dans cet article Les plus beaux lieux où faire une retraite spirituelle. Ou bien, tout simplement tapper dans votre moteur de recherche ces mots-clés retraite spirituelle athée / retraite spirituelle non religieuse / retraite spirituelle méditation / retraite spirituelle yoga /retraite spiriuelle randonnée… ou tout autre activité que vous aimeriez combiner à votre retraite ! – – Maintenant, on peut se poser une autre question peut-on faire une retraite religieuse quand on est athée ou non-croyant ? – Dans cet autre cas, je vais prendre l’exemple de la retraite que j’ai faite dans une abbaye de Bénédictines. Il y a quelques semaines, j’ai recherché sur Google un monastère en Bretagne qui pourrait accueillir des retraitants. J’avais déjà entendu dans mon entourage des personnes dire qu’elles avaient passé quelques jours pour se recueillir dans un monastère. Et cet été, lors de ma visite de l’Abbaye de Sénanque en Provence, la guide nous avait parlé d’un espace pour des retraitants. Je savais donc que ce type de retraite était possible, mais je ne savais pas si je pouvais y participer en tant que non-catholique. J’ai ouvert quelques résultats de recherche dont le site de l’Abbaye St Michel de Kergonan. L’Abbaye abrite une communauté de soeurs Bénédictines vivant sur place dans le monastère. J’ai envoyé un email à la soeur hôtelière afin de lui présenter mes motivations de retraite et de savoir si je pouvais être admise, sans préciser mes convictions religieuses. Quelques jours plus tard, j’ai reçu sa réponse positive, accompagnée d’une question souhaitez-vous rencontrer une soeur, ou bien rester seule lors de votre séjour ? – Ma retraite de 3 jours dans une abbaye en Bretagne – Je suis arrivée à l’abbaye de St Michel de Kergonan en milieu d’après-midi. À vrai dire, je ne savais pas trop à quoi m’attendre en réservant ce séjour. Où allais-je dormir ? Dans un dortoir, dans une chambre privée ? Avec qui allais-je prendre mes repas ? Avec les soeurs, avec les retraitants, seule ? Qu’allais-je faire de mes journées ? – Être retraitant dans une abbaye, quelles attentes ? La soeur hôtelière ma chaleureusement accueilli et présenté la petite hôtellerie de l’abbaye un bâtiment secondaire séparé de quelques dizaines de mètres du bâtiment central qui se compose de l’église et du monastère. Je découvre alors, ma petite chambre simple, la bibliothèque, la cuisine, la salle d’eau et la salle à manger. Je comprends alors vite que mon séjour sera bien séparé de la vie quotidienne des soeurs. Je suis un peu déçue, car j’aurais peut-être aimé partager la vie en communauté avec les soeurs, j’aurais peut-être aimé prendre mes repas avec elles, expérimenter leur retraite à elles au final. – Déroulement d’une retraite en abbaye / monastère Mais je comprends vite qu’il ne s’agit pas de ce type d’expériences. Après réflexion, c’est assez normal les retraitants viendraient déranger le quotidien monastique et le recueillement des soeurs qui vivent en total isolement. En tant que retraitante, je reste totalement libre de la façon dont je souhaite organiser mes journées. Je suis néanmoins invitée à venir écouter les offices quotidiens des soeurs 6 offices entre 6h du matin et 10h du soir, si mes souvenirs sont bons. Et à manger mes repas dans la salle à manger de la petite hôtellerie avec les autres retraitants. – Une démarche dans la bienveillance et la tolérance Je me retrouve donc avec moi-même ou presque avec beaucoup de temps libre. Je profite de tout ce temps pour étudier un livre spirituel, me rendre à quelques offices ou messes chantés en grégorien ou aller voir le coucher de soleil au bord de la mer. Je prends plaisir à écouter les chants enveloppants des soeurs, qui résonnent dans toute l’église. C’est reposant. J’instaure ces petits rendez-vous dans mes journées tels des instants de méditation. Si vous êtes non croyant et que vous souhaitez réaliser une retraite spirituelle dans un lieu religieux un monastère, une abbaye, un ashram ou autres. Je vous conseille de prendre contact avec le responsable des retraitants en expliquant simplement votre démarche. L’essentiel est d’adopter une attitude respectueuse et tolérante envers les croyants et les pratiquants. C’est une belle source d’ouverture d’esprit. – – Où trouver des retraites en monastère ou en abbaye ? – Sur le site de La Croix, il existe un outil de recherche de retraites en fonction de ses envies. Vous pouvez également consulter le site Retraite Spi, qui regroupe des retraites spirituelles religieuses. Sinon, vous pouvez regarder directement sur les sites des différents monastères en France. – L’offre des retraites est donc très diverse et en fonction de ses envies et de ses attentes, je pense qu’il est tout à fait possible de trouver ce que l’on recherche, en accord avec sa démarche. Des retraites spirituelles peuvent être non religieuses et on peut parfois participer à des retraites dans des lieux religieux en étant athée ou d’une autre foi religieuse. En espérant de trouver ce qui vous conviendra le mieux pour votre prochaine retraite 🙂 – – Revenir aux choses simples est une envie qui ne fait que grandir en moi. Jour après jour, j’aspire à un mode de vie au ralenti, centré sur les choses essentielles. Retrouvez-moi également sur le blog de voyage Sense Away.
Mots-clés vie monastique postée le 17 juillet 2018 Les sœurs du Carmel du Havre témoignent Nous avons créé cet espace que nous mettons régulièrement à jour, pour laisser la parole à la fois à ceux et celles qui se posent des questions sur ... lire la suite postée le [su_row][su_column size="1/2" center="no" class=""][su_youtube url=" [su_column size="1/2" center="no" class=""][su_youtube ... lire la suite
Télécharger l'article Télécharger l'article Un moine est une personne qui se retire de la société pour se concentrer sur le service religieux. Plusieurs religions majeures ont une tradition monastique, les plus importantes étant le christianisme et le bouddhisme. Pour devenir moine, il faut étudier, faire preuve de dévotion et consacrer des années et des années à sa formation et à sa transition. La vie monastique est une existence simple, consacrée à la servitude, qui demande de la dévotion afin de parvenir à vivre une vie de célibat et à se détacher des biens matériels. 1Consacrez-vous à la religion. Être moine, c'est vivre en dévotion spirituelle, physique et philosophique à la religion. Commencez votre chemin vers la vie de moine en prenant, dès aujourd'hui, un engagement profond pour votre cheminement spirituel. Commencez à étudier chaque jour et à prier plusieurs fois au cours de la journée. Faites tout votre possible pour que votre foi se reflète dans chaque aspect de votre vie [1] . 2 Renseignez-vous sur les différents ordres monastiques. Si la routine de base d'un moine est généralement plus ou moins la même d'un ordre à l'autre, il existe tout de même des différences importantes à prendre en compte. Dans les ordres contemplatifs, les moines passent la plupart de leur temps entre les murs du monastère, à prier. En revanche, dans les ordres actifs, les moines vivent pour servir les autres. Dans certains ordres actifs, les moines peuvent être assignés à travailler loin du monastère. Dans les ordres communautaires, les moines passent leur temps entre eux. Ils travaillent, prient et mangent ensemble. Dans les ordres érémitiques, il est déconseillé aux moines d'interagir entre eux, et ceux-ci passent la plus grande partie de leur journée dans leur cellule. Les ordres monastiques sont généralement initiés par des figures religieuses importantes, qui se sont consacrées à maintenir les traditions et à travailler sur les causes établies par les fondateurs. 3Engagez-vous à rester célibataire. Quels que soient la religion et l'ordre, presque toutes les communautés monastiques imposent le célibat à leurs membres. Pour vous rapprocher de la vie de moine, faites, en vous-même, vœu de célibat. Cela vous permettra de déterminer si devenir moine est un objectif réaliste et envisageable pour vous. Avoir su rester célibataire montrera également la profondeur de votre dévotion lorsque vous approcherez un monastère que vous aimeriez rejoindre [2] . 4Entrainez-vous à vivre en communauté. Au sein de la plupart des ordres monastiques, les moines vivent en une communauté très étroite. Ils partagent leurs repas, leur logement et dans certains cas, ils partagent même entre eux toutes leurs possessions matérielles. Pour faire l'essai de ce mode de vie, trouvez un type de logement qui vous oblige à vivre en communauté. Recherchez des logements communautaires dans votre secteur et voyez si des chambres sont libres [3] . 5Défaites-vous de vos possessions matérielles. En plus de vivre en communion avec les autres, les moines des différents ordres religieux renoncent à la possession de biens matériels. Dans certains cas, les moines donnent tout ce qu'ils possèdent à l'Église. Pour vous faire une idée de ce type de vie et vous rapprocher de la condition de moine, faites don de certaines de vos possessions et vivez une vie plus simple [4] . Publicité 1 Visitez un monastère. Si vous envisagez de devenir moine, la première étape sera de visiter un monastère. Dans la plupart des cas, les monastères sont ouverts à la visite aux fidèles potentiels. Certains vous permettront même de rester sur place plusieurs jours de suite. Lors de ces visites, vous apprendrez en quoi consiste la vie quotidienne du monastère, ainsi que ce qui est attendu des moines [5] . Certains monastères proposent des chambres d'hôtes aux personnes extérieures qui sont prêtes à respecter certaines règles, comme respecter un couvre-feu et des périodes de silence. Vous pourriez envisager une retraite monastique, au cours de laquelle vous prendrez part aux activités quotidiennes du monastère. 2 Devenez novice. Après avoir visité un monastère et décidé que vous souhaitiez vous consacrer à cette vie, vous pourrez faire part de votre désir de devenir novice et intégrer le monastère. Cette pratique sera la première étape pour devenir un moine chrétien. En tant que novice, vous vous verrez enseigner tous les aspects de la vie monastique. En même temps, les moines vous observeront dans le but de déterminer si votre personnalité leur semble adaptée à la vie de moine [6] . Selon l'ordre, vous pourriez devoir passer plusieurs niveaux en tant que novice. Ce processus peut prendre jusqu'à un an, encore une fois en fonction de l'ordre choisi. 3Devenez un postulant. Après avoir terminé votre période en tant que novice, il pourrait vous être demandé de devenir postulant. À cette étape, vous pourriez vous voir attribuer davantage de responsabilités au sein du monastère. Parallèlement, les attentes à votre égard seront plus hautes. Lors de cette étape, vous vivrez une expérience plus profonde, qui vous permettra de déterminer si cette vocation est pour vous, ainsi que de prouver votre sérieux aux autres moines [7] . 4Faites des vœux temporaires. En tant que postulant, vous devrez faire des vœux temporaires et vous engager à respecter les croyances et le mode de vie du monastère, pour la durée que vous y demeurerez. Ces vœux varieront selon l'ordre choisi, mais impliqueront généralement de vous consacrer à Dieu, de rester célibataire et de rejeter les biens matériels [8] . 5Engagez-vous définitivement dans la vie monastique. Après votre temps de postulant, vous serez enfin invité à rejoindre le monastère pour de bon. Vous serez ordonné moine chrétien et vous ferez vos vœux perpétuels [9] . Publicité 1Apprenez les enseignements bouddhistes. Avant d'approcher un maitre dans l'intention de devenir moine bouddhiste, vous devrez être bien renseigné sur la tradition bouddhiste, avoir lu les enseignements et bien connaitre la pensée bouddhiste. Commencez votre cheminement en vous consacrant à l'étude du bouddhisme [10] . 2 Trouvez un maitre. Si vous n'êtes pas déjà entouré de bouddhistes pratiquants, cette étape pourrait vous être difficile. Mais pour pouvoir devenir moine, vous devrez avoir un maitre qui vous donnera la permission d'être ordonné. Recherchez des temples bouddhistes dans votre secteur ou voyagez dans une région du monde où le bouddhisme est plus présent. Gardez le cœur ouvert et laissez-le vous guider vers le maitre dont vous avez besoin [11] . Vous pourriez essayer d'envoyer une lettre ou un email aux maitres bouddhistes de votre région et entretenir une correspondance avec eux. 3Prenez l'habitude de méditer. La pratique d'une méditation profonde et sérieuse est un composant essentiel de la tradition monastique bouddhiste. Certains ordres bouddhistes valorisent même davantage une pratique avancée de la méditation que la connaissance des enseignements bouddhistes. Pour démontrer que vous avez votre place dans la communauté des moines, il pourrait être important de pouvoir démontrer votre capacité à pratiquer la méditation. 4Passez du temps dans un monastère. Après avoir suffisamment étudié et avoir trouvé un maitre pour approfondir votre éducation bouddhiste, vous devrez trouver un monastère où séjourner. Si votre profil correspond, vous serez invité à faire vos vœux laïques » ou les vœux de la dévotion et de l'intention bouddhiste, faits par une personne laïque. En passant du temps dans un monastère bouddhiste, vous pourrez vous assurer que cette vie est bien pour vous [12] . 5Faites vos vœux perpétuels. Après avoir passé du temps au sein de la communauté monastique, vous pourriez être invité à y demeurer. Il vous sera demandé de faire les vœux qu'un moine bouddhiste fait pour le restant de sa vie et vous serez ordonné en tant que tel. Vous devrez vous engager à vivre une vie de célibat et à renoncer aux biens matériels [13] . 6Restez pour 5 ans. Lorsqu'une personne est ordonnée moine bouddhiste, elle reste traditionnellement dans le monastère pour une période de 5 ans. Devenir moine bouddhiste implique de rejoindre une communauté religieuse la Sangha. Cette communauté consacre son temps à l'étude et à la pratique des enseignements de Bouddha et les partage avec les autres. En tant que moine bouddhiste, vous renforcerez vos liens avec la Sangha au cours de 5 années ou plus que vous passerez avec le groupe [14] . Publicité Conseils Les religions ayant une tradition monastique incluent le christianisme catholique, orthodoxe et protestant, le bouddhisme Theravada, Mahayana et Vajrayana, l'hindouisme Brahman, Shaivite et Vaishnavite, le jaïnisme et le taoïsme. D'autres religions, comme l'islam et le judaïsme, n'ont pas de tradition monastique à proprement parler, bien que certains adeptes choisissent de suivre des traditions monastiques par nature. Publicité À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 29 444 fois. Cet article vous a-t-il été utile ?
Sophie de Villeneuve Comment être sûr que l'on a reçu un appel, que l'on a bien la vocation ? Comment décide-t-on d'entrer dans la vie religieuse ?Anne Lécu Comment savoir si l'on est fait pour la vie religieuse ? J'ai envie de répondre qu'il n'y a qu'à essayer ! On ne peut pas le savoir tant qu'on ne l'a pas essayé. Les différentes étapes de formation de la vie religieuses sont faites pour cela. Il y a de nombreuses formes de vie religieuse, et c'est difficile de s'y retrouver quand on en est un peu éloigné, mais qu'on ressent malgré tout un appel. Ressentir un appel, c'est avoir envie de suivre le Christ de manière assez entière, c'est-à-dire d'y sacrifier un certain nombre de choses dans son première chose à faire, c'est de se mettre d'accord sur les mots. J'ai reçu il y a quelque temps une jeune femme qui pensait à la vie religieuse, mais en l'écoutant je me suis rendu compte qu'en disant "vie religieuse", elle voulait dire "vie chrétienne". Donc il faut être clair la vie religieuse consiste à entrer dans un institut religieux, à vivre en communauté, à rester célibataire et à partager les à obéir aussi ?A. L. Non, les deux points fondamentaux dans la vie religieuse sont le partage des biens et le célibat. Ce sont les points communs à toutes les formes de vie religieuse depuis ses origines. Après quoi sont apparus, assez tardivement, les vœux d'obéissance, de pauvreté, de chasteté. Le vœu d'obéissance peut résumer les trois, il est le plus important. Chez les dominicains, on ne fait qu'un vœu d'obéissance, qui inclut les deux autres. Laissons la question des vœux, l'idée primordiale, c'est de rester célibataire et de partager ses biens avec d'autres. Cela peut se faire de multiples façons dans un monastère dans lequel on travaille et dont on ne sort pas, comme les bénédictins, les cisterciens ou les carmélites. On peut le faire dans la vie apostolique on vit ensemble mais on travaille à l'extérieur, et la vie religieuse consiste là à articuler le dedans et le dehors. Et puis il y a tout le reste la prière, le partage des biens, l'obéissance des uns aux autres dans la vie commune… Tout cela, il faut l' cela, il faut y réfléchir, sans se voiler la face. Il y a beaucoup d'instituts aujourd'hui dans lesquels il est déraisonnable d'entrer quand on a 20 ans, un monastère par exemple dont les sœurs ont toutes plus de 70 ans. Je pense qu'il faut se faire aider, et dans chaque diocèse il existe un groupe d'aide de "soutien à la pastorale vocationnelle" qui aide à discerner les vocations à la vie religieuse, presbytérale, mais aussi au mariage ou au diaconat. On peut aller discuter avec ces gens qui ont l'habitude d'entendre les questions que l'on se pose quand on se sent appelé, et qui peuvent aider à cheminer avec ces questions. Et puis il important de rencontrer d'autres jeunes qui se posent les mêmes questions, car on se sent parfois très seul sur ce chemin-là dans notre fois ce temps de discernement effectué, il faut se demander vers quelle forme de vie religieuse on veut aller, et c'est par des rencontres que la décision se fait. La bonne question est à quel endroit est-ce que je me sens chez moi ? Il faut aller là où notre cœur nous faut donc visiter plusieurs endroits ?A. L. Certains entrent dans la vie religieuse après une rencontre avec quelqu'un, et ne vont pas voir ailleurs. D'autres iront voir cinq ou six endroits avant de se décider. Tous les chemins sont possibles. Il n'y a pas de mauvais chemin. Je n'aime pas beaucoup le mot de vocation qui suggère que le choix de la vie religieuse serait une volonté de Dieu à laquelle on adhérerait ou pas, et que chercher sa vocation consisterait à se demander ce que Dieu veut. C'est absolument faux. Tous les chemins de bonheur sont possibles à l'homme. Il faut juste en choisir un à un moment donné. Mais si je le choisis en toute honnêteté, ce sera le bon chemin. Il n'y a aucun plan établi à l'avance, fois qu'on est entré dans la vie religieuse, qu'on a trouvé un endroit où l'on se sent bien, qu'est-ce qui peut indiquer qu'on a fait le bon choix ? Y a-t-il des fruits à percevoir ?A. L. Il y a des fruits évidents la paix intérieure, la vie commune est-ce qu'on supporte les autres ?, le sentiment d'être heureux… Quelqu'un qui serait triste, irascible, angoissé devrait réfléchir, surtout si ce n'était pas habituel s'il vous manque quelque chose ?A. L. Le manque est structurant dans la vie religieuse. On a tendance à idéaliser les choses, à se dire qu'il n'y aura jamais de conflit parce qu'on cherche tous Jésus-Christ et qu'on est tous de bonne volonté. Les trois vœux de pauvreté, d'obéissance et de chasteté structurent le manque, et je choisis d'habiter ce manque. Personnellement je manque d'un compagnon, je manque d'enfants… Sur la question de la pauvreté, soyons honnêtes, vivant à Paris au XXIe siècle dans une maison religieuse, nous n'avons pas les soucis de logement ou de nourriture que certains de nos contemporains connaissent. Mais nous vivons dans des instituts vieillissants, où l'on se sent souvent seul. La solitude est une véritable forme de pauvreté. On choisit d'être seul. Avec l'obéissance, on choisit aussi de ne pas avoir la main sur sa vie, en écoutant ce qu'on nous propose, en acceptant des tâches auxquelles on n'aurait jamais pensé, ce qui peut élargir notre de temps faut-il pour se rendre compte que l'on est vraiment bien sur ce chemin-là ?A. L. Quatre-vingt dix ans ! Ce n'est jamais fini. Certains ont peut-être la chance d'être sûrs d'eux très vite, moi je pense que je n'aurai jamais fini de me dire que j'ai fait une erreur, qu'il faut que je parte, que je ne crois plus en Dieu… Cela fait partie de la condition humaine de se dire que l'on s'est trompé ou que l'on a été trompé par les autres. L'accusateur n'est jamais loin, et ce n'est pas un bon compagnon de route. On imagine toujours que l'herbe est plus verte dans le pré du voisin ! Les auteurs religieux du IVe siècle en parlaient déjà, ces craintes-là font partie du finalement, on avance pas si sûr de soi…A. L. Surtout pas. Les pires religieux sont ceux qui sont sûrs d'eux. La condition humaine, c'est de n'être pas sûr de soi. Et la condition du croyant encore moins. Il ne s'agit pas d'être sûr de soi, mais d'être sûr du Christ. C'est tout à fait différent !Dans cette incertitude, est-ce qu'on peut être heureux ?A. L. Je suis sûre que oui ! Le bonheur est un don qui nous est fait. De même que l'assurance. Ce n'est pas moi qui construis ma propre assurance. Que chaque jour on se dise "Ce n'est pas possible, je n'y arriverai pas", et qu'à la fin de chaque jour on constate "Mais si, ce fut possible", c'est autre chose. Je crois que le réel est source de joie. Regarder les choses en face, c'est pour moi une source d'angoisse et une source de joie, les deux êtes religieuse et vous êtes médecin en prison. Est-ce que les deux se complètent pour vous ?A. L. La prison me repose de la vie religieuse ! Parce que, bien sûr, je ne vis pas avec les détenus. Le plus grand lieu de difficulté de la vie religieuse, depuis ses origines jusqu'à la fin des temps, c'est la vie commune, parce que c'est le réel et que le réel est compliqué pour chacun d'entre nous. Il n'y a pas de raison que les religieux n'aient pas les mêmes difficultés que tout le monde difficultés d'incertitude sur l'avenir, de conflits potentiels, mais aussi joie de vivre résumé, que dire à quelqu'un qui se demande s'il a vraiment la vocation religieuse ? D'abord d'essayer ?A. L. Oui, et aussi de discuter avec des gens qui pourront l'aider à y voir clair. Et puis, dans la vie religieuse, on avance par étapes. On est d'abord postulant c'est un temps d'apprivoisement avec l'institut dans lequel on est entré. Si vous êtes d'accord pour rester, et si l'institut est d'accord pour que vous restiez, car cela fonctionne dans les deux sens, vous entrez au noviciat pour un ou deux ans. La communauté qui vous reçoit peut très bien vous dire au bout de six mois merci, au revoir. Et vous aussi pouvez très bien dire merci et au revoir ! Les dominicains ont une très belle formule "Si vos mœurs nous plaisent et si nos mœurs vous plaisent, nous pourrons continuer ensemble." → Vous avez dit vocation»?→ Discerner seul sa vocation ? → S’engager dans la vie religieuse → Vie monastique comment durer ?→ Être moine c’est quoi?
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